Le Congrès du Parti Socialiste est toujours un grand moment démocratique. Rappelons au passage qu’il est le seul parti politique français à organiser une consultation de ses militants. Après plusieurs mois de campagne et des échanges de fond dans toutes les sections, plus de 128 000 adhérents se sont prononcés sur notre orientation politique. 6 motions étaient en lice. Les résultats sont serrés. 29% pour la motion soutenue par Ségolène Royal. 25% chacun pour Martine Aubry et Bertrand Delanoë. 19% pour Benoît Hamon.
Aujourd’hui, l’heure est au rassemblement. Le Congrès doit définir une ligne politique clairement ancrée à gauche avec un 1er secrétaire qui représentera l’ensemble des sensibilités. L’unité du Parti Socialiste a toujours fait sa force depuis Guesde et Jaurès. Nous devons être fiers de notre passé et des conquêtes sociales que nous avons portées mais nous devons également nous tourner vers l’avenir. Comme nous le démontre l’élection de Barack Obama, l’avenir a choisi le camp du progrès.
Le progrès, c’est l’intervention de l’Etat dans une économie en crise. C’est aussi la redistribution des richesses dans un pays où les inégalités sont de plus en plus fortes. Enfin c’est l’égalité à l’école et devant les services publics qui sont le bien de ceux qui n’ont rien. Ces combats, nous les partageons avec tous les socialistes français qui gardent en tête la fameuse phrase de Jaurès, « aller à l’idéal et comprendre le réel ». Dans un contexte marqué par la crise, elle résonne à nos oreilles et nous dicte notre conduite. Nous devons travailler collectivement, dans la fidélité à nos valeurs, pour proposer une alternative crédible aux Français. Le Parti Socialiste doit leur redonner espoir en l’avenir. Voilà le seul enjeu du Congrès de Reims.
Aujourd’hui, l’heure est au rassemblement. Le Congrès doit définir une ligne politique clairement ancrée à gauche avec un 1er secrétaire qui représentera l’ensemble des sensibilités. L’unité du Parti Socialiste a toujours fait sa force depuis Guesde et Jaurès. Nous devons être fiers de notre passé et des conquêtes sociales que nous avons portées mais nous devons également nous tourner vers l’avenir. Comme nous le démontre l’élection de Barack Obama, l’avenir a choisi le camp du progrès.
Le progrès, c’est l’intervention de l’Etat dans une économie en crise. C’est aussi la redistribution des richesses dans un pays où les inégalités sont de plus en plus fortes. Enfin c’est l’égalité à l’école et devant les services publics qui sont le bien de ceux qui n’ont rien. Ces combats, nous les partageons avec tous les socialistes français qui gardent en tête la fameuse phrase de Jaurès, « aller à l’idéal et comprendre le réel ». Dans un contexte marqué par la crise, elle résonne à nos oreilles et nous dicte notre conduite. Nous devons travailler collectivement, dans la fidélité à nos valeurs, pour proposer une alternative crédible aux Français. Le Parti Socialiste doit leur redonner espoir en l’avenir. Voilà le seul enjeu du Congrès de Reims.
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